Etude 2D

Le passage en 2D fait disparaître beaucoup de problèmes par la simplification des liaisons et de leur positionnement.

Hypothèses:

- Le système présente un plan de sysmétrie géométrique (X,Y)

- Toutes les liaisons sont dans le plan (X,Y)

- Tous les efforts s'exercent dans le plan (X,Y) et tous les moments sont portés par Z.

Modélisation:

Détermination du degré d'hyperstatisme:

h=m+3µ-Ic avec m le degré de mobilité: ici il n'y a qu'une mobilité utile d'où m=1

le nombre de cycle indépendant µ = NL - NP +1, ici j'ai NL= 7 liaisons et NP= 6 solides d'où µ = 2

et pour finir les inconnues cinématiques pour chaque liaisons: (L1): 1 inconnue (L2): 1 inconnue (L3): 1 inconnue (L4): 1 inconnue (L5): 1 inconnue (L6): 1 inconnue et (L7): 1 inconnue d'où Ic=7 soit h=1+(3×2)-7

h=0 Cette modélisation est isostatique.

Hypothèse simplificatrice: le système présente une sysmétrie géométrique, ainsi qu'une sysmétrie supposée des efforts. Nous modélisons le système que sur une moitié.

h=m+3µ-Ic avec m le degré de mobilité: ici il n'y a qu'une mobilité utile d'où m=1

le nombre de cycle indépendant µ = NL - NP +1, ici j'ai NL= 4 liaisons et NP= 4 solides d'où µ = 1

et pour finir les inconnues cinématiques pour chaque liaisons: (L1): 1 inconnue (L2): 1 inconnue (L3): 1 inconnue (L4): 1 inconnue d'où Ic=4 soit h=1+(3×1)-4

h=0 Cette modélisation est isostatique.

 

 

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